Soutenez-nous via votre testament
Inscrire La Cité Joyeuse parmi les bénéficiaires de votre testament, c’est agir dans la continuité et contribuer au développement d’une société plus juste en aidant les jeunes qui en ont besoin !
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Comment ajouter La Cité Joyeuse sur mon testament ?
Mentionnez dans votre testament ce que vous léguez de vos biens à La Cité Joyeuse asbl, rue de La Cité Joyeuse 2, 1080 Bruxelles en mentionnant le numéro d’entreprise BE0407963093. Vous pouvez rédiger un testament authentique auprès de votre notaire ou un testament olographe. Dans le cas d’un testament olographe, il est préférable de procéder à son enregistrement chez un notaire afin d’éviter toute perte ou malentendu. Vous pouvez trouver facilement un notaire sur le site notaire.be.
Plusieurs possibilités s’offrent à vous
Un legs universel
Léguer l’ensemble de votre patrimoine à une ou plusieurs personne(s) ou organisation(s). Si vous souhaitez nous léguer tous vos biens, vous faites de La Cité Joyeuse votre légataire universel.
Un legs à titre universel
Effectuer un legs à titre universel consiste à laisser une partie de vos biens à une ou plusieurs personne(s) ou organisation(s). Vous léguez alors à La Cité Joyeuse un pourcentage déterminé de vos biens ou de votre compte en banque.
Un legs à titre particulier
Vous léguez à La Cité Joyeuse des biens spécifiques. Un legs particulier vous permet de décider de léguer une somme d’argent déterminée ou une maison par exemple La Cité Joyeuse.
Un legs en duo
Le legs en duo consiste à faire don d’une partie de vos biens à La Cité Joyeuse et laisser une part plus importante à vos autres héritiers. La Cité Joyeuse paye alors tous les droits de succession, y compris ceux des héritiers. Il s’agit d’une solution intéressante pour tout légataire car un legs en duo permet d’épargner beaucoup de droits de succession. Dans ce cas, il est important de veiller à ce que le legs en faveur de La Cité Joyeuse soit suffisamment conséquent pour supporter tous les coûts et les droits de succession. Dans le cas contraire, nous serions contraints de refuser le legs et le bénéfice au profit des autres héritiers disparaîtrait.